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Service coupé du 5 au 8 avril : actions prévues par rapport aux services concernés par le calcul des délais
La Cour suprême, dans la sentence STS 2182/2012, a rejeté le recours contentieux-administratif formé par leAssociation espagnole des conseillers fiscaux et des gestionnaires fiscaux (ASEFIGET) contre laobligation de recevoir les communications et notifications par voie électronique réalisé par l'AEAT à certains groupes de personnes morales, obligation réglementée dans la Décret royal 1363/2010, du 29 octobre.
Il faut se rappeler que le LOI 11/2007, du 22 juin, sur l'accès électronique des citoyens aux services publics prévoit déjà la possibilité de réglementer l'obligation de notification par voie électronique à certains groupes. Plus précisément, l'article 27.6 de cette loi stipule :
Par règlement, les administrations publiques peuvent établir l'obligation de communiquer avec elles uniquement par des moyens électroniques, lorsque les parties intéressées correspondent avec des personnes morales ou des groupes de personnes physiques qui, en raison de leur capacité économique ou technique, de leur dévouement professionnel ou d'autres raisons accréditées, ont un accès garanti et la disponibilité des moyens technologiques nécessaires.
Depuis le Consortium AOC, nous continuons à insister auprès des administrations publiques catalanes sur le fait que les notifications électroniques sont une bonne occasion d'économiser du temps et de l'argent, et que l'obligation pour certains groupes - tant qu'elle est correctement réglementée comme l'a fait l'AEAT - peut aider à promouvoir et consolider plus rapidement et plus largement l'utilisation des notifications électroniques en Catalogne, puisque dans tous les cas où elle est réglementée, il n'y aura pas besoin de gérer le consentement de l'intéressé et il sera possible d'utiliser plus intensivement